Les preuves scientifiques et observations de terrain
L’équipe de Geoengineering Watch affirme avoir mené des prélèvements à différentes altitudes et dans des précipitations du monde entier. Les analyses révèlent la présence de nanoparticules d’aluminium, de baryum et de strontium, des éléments souvent cités dans les brevets de géo-ingénierie. Ces particules, de taille nanométrique, passent sous les radars des systèmes de mesure officiels de la qualité de l’air qui ne détectent que les particules plus grosses (PM10, PM2,5).
Des images satellites et des analyses au microscope électronique à balayage confirment la présence de ces nanomatériaux, aussi bien dans l’air qu’au sol, ainsi que dans les organismes vivants et jusque dans le sang humain. La présence d’aluminium sous forme libre (et non liée à la roche mère) dans l’eau de pluie, les sols et la végétation est particulièrement préoccupante.
Conséquences sanitaires et environnementales
Le documentaire dresse un constat alarmant. Les nanoparticules sont inhalées et s’accumulent dans le cerveau, le cœur et les poumons, et sont suspectées d’être à l’origine de la recrudescence de maladies neurodégénératives comme Alzheimer, Parkinson ou encore certaines démences précoces. Elles favoriseraient aussi l’inflammation chronique, le vieillissement prématuré et la suppression du système immunitaire.