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Belle-mère envahissante ou toxique : comment gérer au mieux ? Les conseils d’une psy

À noter : d’après l’experte, ce sont plutôt les femmes en couple hétérosexuel qui sont confrontées à des belles-mères toxiques “du fait d’une relation mère-fils parfois extrêmement fusionnelle”. L’inverse (une belle-mère toxique vis-à-vis de son beau-fils, donc) est cependant possible. Idem dans les couples homosexuels.

“Les comportements toxiques apparaissent plutôt à la naissance du premier enfant du couple, quand la belle-mère devient grand-mère, mais ils peuvent aussi survenir avant, dès le début de la relation !” ajoute l’experte.

Belle-mère toxique : quels sont les signes à reconnaître ?
Comment reconnaître une belle-mère toxique ? “La belle-mère toxique est une femme qui se montre invasive et intrusive, d’abord sur le plan psychologique puis éventuellement sur le plan physique” explique la psychopraticienne.

Concrètement, la belle-mère toxique se permet des conseils non-sollicités, insiste pour imposer “sa” manière de voir les choses, refuse de respecter les limites qui ont été fixées par le couple, multiplie les critiques et les jugements (sur l’éducation des enfants du couple, sur la façon de s’habiller de sa belle-fille ou de son beau-fils, sur son travail, sur ses fréquentations, sur la manière dont est tenu le foyer…), se montre moqueuse, sarcastique ou railleuse…

“Parfois, ça peut aller très loin, avec une belle-mère qui impose sa présence et vient s’installer dans la maison ou dans l’appartement du couple pour “faire les choses” comme elle l’entend, au mépris de son beau-fils ou de sa belle-fille, ajoute Géraldyne Prévot Gigant. Il s’agit de bien faire comprendre à celui-ci / à celle-ci qu’il / elle n’est pas prioritaire. C’est une lutte de pouvoir.” De son côté, la belle-fille / le beau-fils ne se sent pas respecté(e) dans ses valeurs, dans ses besoins et dans sa vie privée.

Comment gérer une belle-mère toxique ou méchante ?
Comment gérer une belle-mère toxique ? Premier cas de figure : “si l’exposition toxique est délimitée dans le temps, j’aurais tendance à vous conseiller de prendre sur vous” recommande Géraldyne Prévot Gigant. Ainsi, si vous ne voyez votre belle-mère “que” pendant les fêtes de fin d’année ou “que” à l’occasion de rares événements familiaux (une réunion de famille annuelle, par exemple), le meilleur comportement est sans doute de serrer les dents, d’encaisser les critiques et d’attendre que ça passe.

 

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